Coup durs

Publié le par Maud & Benoit

Cela fait bien longtemps que nous n'avons pas écrit sur ce blog.... 

C'est dur d'etre loin de sa famille quand on perd un être cher...

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... En plus quelques boliviens sournois (et oui, ça existe aussi) ont profité de notre étourderie qui avait plus que triplée après une nuit blanche en bus, pour s'emparer de l'appareil photos et du sac à main dans lequel se trouvait la quena de benoit (flûte), et nos carnets de voyages; dans laquelle nous commençions à avoir de précieuses informations collectées sur la permaculture, des contacts, des jolis dessins, etc... arg! Exit les photos du woofing et des quelques ballades de ce mois-ci. Tant pis, on essaierai de récupérer des photos d'autres personnes croisées par-ci par-là!

Pour se donner du baume au coeur, on peut rigoler un coup de la façon ridicule du paumage de nos affaires : dans le bus de nuit pour la paz, on se fait chourer l'appareil photos, et on s'en aperçoit une fois s'être fait larguer du bus a 5h du mat sur une route paumée... :) et donc tout naif que nous sommes nous voila partis pour tenter de rattrapper le bus vers la paz, pensant que nous aurions peut être juste oublier l'appareil photos dans le bus. cette course poursuite est bien sûr un échec total : quand nous arrivons a La paz, plus de bus; et la compagnies est fermé. La deuxième perte est liée à une peau de banane ! :) Je me console donc en mangeant une bonne banane, comme d'habitude. Le dilemne habituel apparaît alors : il n'y a pas de poubelle ici, que faire donc de la peau de banana ?? la jeter danbs le caniveau ? un bolivien voyant mon désoeuvrement m'indique de la jeter dans une poubelle inexistante, qui me fait écarter de deux metres des sacs que je gardes, et en me retournant, plus de sac à dos!

Bref, rien de dramatique non plus, c'est juste dommage pour les quelques affaires perso que nous avions. Cela retarde un peu notre départ pour la belle isla del sol, le temps de constater la l'inutilité des constats à la police bolivienne!

 

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K
<br /> <br /> ça me rappelle vivement un beau souvenir à la gare routière de La Paz où je suis arrivé à 5h30 du mat' de Potosi, la fatigue aidant, la ruse des jeunes gens détournant mon attention, j'ai perdu<br /> tout un sac à dos de fringues et autres belles données au bout d'un mois de Bolivie.<br /> <br /> <br /> j'en ai profité pour m'acheter des affaires que je porte toujours.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />
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M
<br /> <br /> Et ben et ben! Bon courage quand même et continuez de garder l'optimisme!<br /> <br /> <br /> <br />
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